Chocolat noir
Bio
Togo
Ça fait combien ?
Utilisation & préparation
- Grâce à leur taille pratique, les gouttes de chocolat sont parfaites pour la pâtisserie.
- Essayez par exemple cette recette d'éclats d'amandes au chocolat noir ou savourez votre propre pâte à tartiner au chocolat et aux noisettes pour le petit-déjeuner.
- La meilleure façon de faire fondre le chocolat est de le mettre au bain-marie. Pour ce faire, placez un récipient résistant à la chaleur contenant les pépites de chocolat dans de l'eau chaude (non bouillante) et remuez jusqu'à ce que les pépites soient fondues. Vous pouvez également verser l'eau chaude avec précaution directement sur le chocolat, puis la vider dès que les gouttes ont fondu.
Mode & durée de conservation
Valeurs nutritives pour 100g | |
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Énergie | 2419kJ/578kcal |
Graisse | 43.6 g |
dont acides gras saturés | 26.8 g |
Glucides | 35.5 g |
dont sucre | 30.6 g |
Protéine | 6.4 g |
Sel | 0 g |
Ingrédients: éclats de fèves de cacao* (Togo), sucre de canne* (Amérique du Sud), beurre de cacao de fèves de cacao* (République Dominicaine).
Teneur en cacao min. 68%.
Allergènes: Peut contenir des traces de lait (inclusif lactose), amandes et noisettes.
*de culture biologique contrôlée
Durabilité & chaîne d'approvisionnement
Transport : en camion depuis des entrepôts décentralisés jusqu'à Lomé, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, en camion vers la Suisse.
KOMI DOH
AGRICULTEUR DE TOMEGBE TSIHI, TOGO
Ce n’est pas facile de devoir dépendre de la nature.
"L’agriculture me procure un revenu et je n’ai pas besoin d’acheter de nourriture !" Komi Doh possède un terrain de 5 hectares sur lequel il cultive du cacao et une multitude d’autres aliments. "Ma femme m’aide et les ouvriers agricoles abattent beaucoup de travail." Parmi les principaux défis auxquels il doit faire face, il mentionne la sécheresse : "Quand il fait trop sec, beaucoup de jeunes plants meurent." C’est toujours avec impatience que Komi Doh attend la récolte : "C’est le moment où je vois enfin le produit de mes efforts. Cela dit, outre mon activité d’agriculteur, j’aimerais bien avoir un travail plus rémunérateur. Travailler dans le commerce de matériaux de construction par exemple."
Contexte
Le problème du chocolat
Les familles d’agriculteur·ice·s qui cultivent du cacao gagnent trop peu pour en vivre. Elles n’ont accès ni à l’eau potable, ni aux soins médicaux, ni à l’éducation. Afin de sortir de la pauvreté, ils défrichent des parcelles de forêt pour obtenir plus de surfaces cultivables ou utilisent des pesticides hautement toxiques. Certaines familles envoient leurs enfants travailler dans les champs, faute de pouvoir payer des travailleur·euse·s agricoles. Cela ne peut pas continuer ainsi !