The Angry Gorilla noir
Bio
Togo
L’Angry Gorilla est notre mascotte pour un commerce de cacao plus équitable. Le cacao utilisé pour notre gorille provient de gebana Togo. L’entreprise familiale Stella Bernrain le transforme pour nous en Suisse. Chocolat noir végétalien avec 71 % de cacao, le gorille pèse 100 grammes.
Utilisation & préparation
Valeurs nutritives pour 100g | |
---|---|
Énergie | 2330kJ/556kcal |
Graisse | 41 g |
dont acides gras saturés | 26 g |
Glucides | 32 g |
dont sucre | 28 g |
Protéine | 16 g |
Sel | 0 g |
Ingrédients : pâte de cacao*, sucre de canne*, beurre de cacao*, gousses de vanille*.
* issu de l'agriculture biologique contrôlée
Cacao : au moins 71%.
Remarque concernant les allergies : peut contenir des traces de noisettes, d'amandes et de lait.
* issu de l'agriculture biologique contrôlée
Cacao : au moins 71%.
Remarque concernant les allergies : peut contenir des traces de noisettes, d'amandes et de lait.
Durabilité & chaîne d'approvisionnement
Producteur·ice·s
Cultivé par 2834 familles d’agriculteur·ice·s sur 1.5 ha en moyenne dans la région des Plateaux au Togo.
Culture
Bio, pas d’irrigation, récolte à la main.
Transformation
Tri à la main, séchage au soleil.
Beurre de cacao transformé en Suisse avec des fèves de cacao de la Républice dominicaine.
Beurre de cacao transformé en Suisse avec des fèves de cacao de la Républice dominicaine.
Achats & logistique
Achat juste après la récolte auprès de coopératives et de familles d’agriculteur·ice·s, depuis 2000.
Transport : en camion depuis des entrepôts décentralisés jusqu'à Lomé, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, en camion vers la Suisse.
Transport : en camion depuis des entrepôts décentralisés jusqu'à Lomé, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, en camion vers la Suisse.
Contexte
Le problème du chocolat
Les familles d’agriculteur·ice·s qui cultivent du cacao gagnent trop peu pour en vivre. Elles n’ont accès ni à l’eau potable, ni aux soins médicaux, ni à l’éducation. Afin de sortir de la pauvreté, ils défrichent des parcelles de forêt pour obtenir plus de surfaces cultivables ou utilisent des pesticides hautement toxiques. Certaines familles envoient leurs enfants travailler dans les champs, faute de pouvoir payer des travailleur·euse·s agricoles. Cela ne peut pas continuer ainsi !