Purée de noix de cajou
Bio
Burkina Faso
Utilisation & préparation
- Utiliser comme garniture pour le porridge, le muesli ou les crêpes.
- La purée peut également être utilisée en pâtisserie. Par exemple dans ces biscuits à la cardamome et aux noix de cajou.
- Utiliser dans des plats salés pour épaissir et affiner des sauces, des dips ou des vinaigrettes. Par exemple dans cette sauce aux noix de cajou.
Durabilité & transparence
- Cultivées par 3031 familles agricultrices sur 5.4 ha en moyenne dans les régions des Hauts-Bassins, du Sud-Ouest, des Cascades et du Centre-Ouest au Burkina Faso
- Agriculture biologique, pas d’irrigation, récolte et tri à la main, transformé en purée et mis en pot en Allemagne, transport : en camion des champs à Bobo-Dioulasso, puis en train jusqu’à Abidjan, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, 100 % des collaborateurs travaillant dans la transformation des noix de cajou ont des contrats de travail, leur salaire est égal ou supérieur au salaire minimum
- Achat juste après la récolte auprès de coopératives et de familles d’agriculteurs, depuis 2005
- Potentiel d’amélioration : former les familles d’agriculteurs, afin qu'elles se considèrent comme des entrepreneuses, promouvoir une agriculture innovante et la biodiversité, augmenter les salaires les plus bas chez gebana Burkina Faso
Valeurs nutritives pour 100g | |
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Énergie | 2582kJ/617kcal |
Graisse | 47.4 g |
dont acides gras saturés | 8.2 g |
Glucides | 27.9 g |
dont sucre | 6.2 g |
Protéine | 19.1 g |
Sel | 0.04 g |
Ingrédients: 100% noix de cajou bio, grillées du Burkina Faso.
Allergènes: Peut contenir des traces de gluten, de cacahouètes, de soja, de moutarde, de sésame, d'amandes, de noisettes, de noix, de noix de pécan, de noix du Brésil, de pistaches, de noix de macadamia.
KONE DJO
AGRICULTRICE DE DAN, BURKINA FASO
Je mange la pomme de cajou. De préférence crue !
"Je cultive trois hectares de maïs, de niébé et de noix de cajou. Ma belle-mère, mon beau-frère et mes enfants m'aident dans les travaux aux champs", raconte Kone Djo. Elle explique qu'il est difficile de trouver des employé·e·s agricoles : "Je constate que de plus en plus de gens vont à l'école ou en ville. Il y a donc moins de personnes ici pouvant aider à la récolte." Kone Djo aimerait aussi acquérir du matériel agricole pour lui faciliter le travail. "Que ce soit un tracteur ou une charrue, cela nous permettrait de travailler plus efficacement."