Noix de cajou
Bio
Burkina Faso
Des noix de cajou entières, naturelles et biologiques, entièrement cassées, pelées, triées et directement exportées par notre filiale de Bobo-Dioulasso.
Utilisation & préparation
- Les noix de cajou s'emploient de différentes façons : vous pouvez les consommer telles quelles ou les torréfier, mais également les faire tremper puis les mixer pour obtenir une consistance crémeuse, à utiliser dans des plats sucrés ou salés.
- En pâtisserie aussi, les noix de cajou peuvent agrémenter vos recettes, par exemple pour la confection de ces biscuits.
Mode & durée de conservation
Stockez noix et graines dans un récipient bien fermé, au frais et à l’abri de la lumière. Veillez à ce que ce récipient soit hermétique, afin de les protéger de l’humidité. Pour prolonger leur conservation de quelques mois, vous pouvez aussi les congeler.
Valeurs nutritives pour 100g | |
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Énergie | 2460kJ/587kcal |
Graisse | 45 g |
dont acides gras saturés | 7.8 g |
Glucides | 27 g |
dont sucre | 5.9 g |
Protéine | 18 g |
Sel | 0.03 g |
Durabilité & chaîne d'approvisionnement
Producteur·ice·s
Cultivées par 3031 familles d’agriculteur·ice·s sur 5.4 ha en moyenne dans les régions des Hauts-Bassins, du Sud-Ouest, des Cascades et du Centre-Ouest au Burkina Faso.
Culture
Bio, pas d’irrigation, récolte à la main.
Transformation
Tri à la main, jamais réemballées, entièrement transformées sur place.
Achats & logistique
Achat juste après la récolte auprès de coopératives et de familles d’agriculteur·ice·s, depuis 2005.
Transport : en camion des champs à Bobo-Dioulasso, puis en train jusqu’à Abidjan, par bateau jusqu’à Rotterdam et par camion jusqu'à Otelfingen/Singen.
Transport : en camion des champs à Bobo-Dioulasso, puis en train jusqu’à Abidjan, par bateau jusqu’à Rotterdam et par camion jusqu'à Otelfingen/Singen.
COULIBALY ANA WARIBA
AGRICULTRICE DE TAGA, BURKINA FASO
J’attends impatiemment l’époque de la récolte des noix de cajou !
"Pour l’instant, je ne cultive que des noix de cajou sur un hectare. Je n’ai pas d’autres sources de revenus", explique Coulibaly Ana Wariba. "À l’avenir, j’aimerais acquérir des terres afin de diversifier mes cultures et de préserver ma famille de la faim". L’agricultrice préfère s’occuper de plantes : "Labourer les champs m’est trop pénible – même avec l’aide d’employés ! C’est bien plus amusant de planter des arbres ou de faire la récolte."
Contexte
Noix de cajou sans détours
Nous transformons nos noix de cajou là où elles poussent : au Burkina Faso. Dans le commerce mondial de ces savoureuses noix, c'est malheureusement une rareté.