Noix de cajou au curry
Bio
Burkina Faso
Noix de cajou rôties, épicées au curry. Le mélange d'épices souligne la douceur naturelle des noix de cajou et arrondit le goût avec un léger piquant.
Mode & durée de conservation
Stockez noix et graines dans un récipient bien fermé, au frais et à l’abri de la lumière. Veillez à ce que ce récipient soit hermétique, afin de les protéger de l’humidité. Pour prolonger leur conservation de quelques mois, vous pouvez aussi les congeler.
Durabilité & transparence
- Cultivées par 3031 familles agricultrices sur 5.4 ha en moyenne dans les régions des Hauts-Bassins, du Sud-Ouest, des Cascades et du Centre-Ouest au Burkina Faso
- Agriculture biologique, pas d’irrigation, récolte et tri à la main, torréfiées et épicées en Allemagne, transport : en camion des champs à Bobo-Dioulasso, puis en train jusqu’à Abidjan, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, 100 % des collaborateurs travaillant dans la transformation des noix de cajou ont des contrats de travail, leur salaire est égal ou supérieur au salaire minimum
- Achat juste après la récolte auprès de coopératives et de familles d’agriculteurs, depuis 2005
- Potentiel d’amélioration : former les familles d’agriculteurs, afin qu'elles se considèrent comme des entrepreneuses, promouvoir une agriculture innovante et la biodiversité, augmenter les salaires les plus bas chez gebana Burkina Faso
Valeurs nutritives pour 100g | |
---|---|
Énergie | 2537kJ/606kcal |
Graisse | 48 g |
dont acides gras saturés | 10 g |
Glucides | 20 g |
dont sucre | 5 g |
Protéine | 21 g |
Sel | 2 g |
Ingrédients: Noix de cajou grillées* (Bénin/Burkina Faso) 95.2%, curry* 1.9%, sel de mer 1.7%, gomme arabique* 1.2%
*de production biologique certifiée.
BARRO FABE ROGER
AGRICULTEUR DE DAN, BURKINA FASO
La pauvreté du sol est un défi quotidien.
"Nous sommes une famille de onze personnes. En plus de mes femmes et de mes enfants, ma mère vit elle aussi avec nous", explique Barro Fabe Roger. "Nous habitons dans notre propre concession, nos champs s’étendent donc juste devant notre porte". Mais l’agriculteur exprime aussi son inquiétude : "Nous souffrons du coût élevé de la vie et de l’insécurité dans la région. J’espère que la politique agricole changera et que nous pourrons bénéficier de meilleurs prix, d’équipements adaptés comme des tracteurs, ce qui nous permettra d’augmenter nos rendements."